Ne pas avoir son téléphone, sa tablette ou sa montre pendant des jours peut être un cauchemar. Ne restez pas dans le noir – souscrivez à une bonne assurance mobile et restez connecté. L’assurance pour téléphone portable couvre les frais de réparation ou de remplacement de votre téléphone portable s’il est perdu, volé ou endommagé. Que couvre l’assurance mobile ? Souscrire une assurance est utile. Consultez les avis à propos d’hubside pour plus de renseignements. En plus de couvrir les frais de réparation ou de remplacement de votre téléphone mobile, la plupart des polices d’assurance pour téléphone mobile couvrent également les éléments suivants : Appels non autorisés Accessoires de téléphones Protection à l’étranger Téléchargements Applications, jeux, musique et autres contenus utiles L’offre dépend de la compagnie en question. Il est donc important de vérifier le libellé de la police d’assurance de téléphonie mobile avant d’acheter. Si vous n’êtes toujours pas sûr, appelez simplement le fournisseur pour obtenir des éclaircissements. Ai-je besoin d’une assurance mobile ? Lorsque vous décidez si vous avez réellement besoin d’une assurance pour votre téléphone portable, il convient vous poser les questions suivantes : Êtes-vous sujet aux accidents ? Si vous avez des antécédents de perte, de casse ou de vol de votre téléphone, l’assurance de téléphonie mobile pourrait vous convenir. Si vous rencontrez souvent des problèmes avec votre téléphone, l’assurance de téléphonie mobile pourrait vous aider à économiser à long terme, surtout si vous devez faire plusieurs réclamations au cours d’une année. Découvrez tout sur les avis à propos d’hubside. Pouvez-vous vous permettre de remplacer votre téléphone ? Les smartphones peuvent être très coûteux à remplacer ou à réparer, surtout si vous envisagez des modèles plus récents. Demandez-vous si vous pourriez remplacer votre téléphone. Ou serait-il plus intéressant d’acheter un modèle moins cher à la place ? Que faire si le téléphone est volé à domicile ? Si votre téléphone est volé à votre domicile, votre police d’assurance habitation couvrira très probablement le coût de remplacement de votre téléphone (99 % des polices l’incluent en standard), mais elle ne couvrira pas le coût des appels ou des données. Si vous bloquez votre téléphone immédiatement avec le réseau, ce coût devrait être minime, mais jusqu’à ce qu’il soit bloqué, vous êtes responsable de ces coûts qui peuvent atteindre des centaines d’euros en peu de temps. Si votre téléphone est volé, ce n’est pas seulement le coût du combiné dont vous devez vous soucier, mais le voleur peut accumuler des centaines de livres d’appels et de téléchargements de données avant que vous ne puissiez bloquer le téléphone. Près des deux tiers (65 %) des polices d’assurance de téléphonie mobile incluent une couverture pour cela en standard, mais seulement 1 % des polices d’assurance habitation le font. Certaines polices ont des exclusions sur les réclamations, telles que les dégâts d’eau. Avec le proverbial sac de riz qui sauve de nombreux iPhone, Apple dispose d’un mécanisme pour vérifier si un téléphone a été endommagé par l’eau ou non, ce qui

[...]

Chaque jour, de nombreuses entreprises répondent à des marchés publics sur des portails d’appel d’offre comme France Marchés, Marchés Online ou encore le BOAMP. Ces entreprises sont de plus en plus nombreuses à signer leur contrat électroniquement avec l’arrivée de la dématérialisation. La signature électronique : fonctionnement et avantages Une signature électronique peut s’appliquer sur des documents dématérialisés, comme une signature manuscrite sur des documents papier, pour authentifier l’auteur, certifier l’intégrité du contenu et prouver l’identité et le consentement du signataire. La signature électronique, si elle reste facultative, est recommandée depuis 2012 dans une logique de dématérialisation des marchés publics (cf. article 102 du décret n° 2016-360 du 25 mars 2016 relatif aux marchés publics, et arrêté du 12 avril 2018 relatif à la signature électronique dans la commande publique). Les marchés publics peuvent ainsi être signés d’une part par l’acheteur et d’autre part par le titulaire du marché. Dans la pratique, la signature électronique requiert un certificat de signature électronique (CSE) délivré par une autorité de certification à une personne physique exerçant une fonction spécifique. Une démarche qui nécessite de se présenter directement auprès de l’autorité compétente qui, après vérification de l’identité, fournira le CSE – fichier contenant une suite de caractères basée sur la cryptographie asymétrique – sur une clé USB ou une carte SIM. Le document signé électroniquement prend alors valeur d’original. Et les avantages sont nombreux pour les entreprises : sécurité, traçabilité, réduction des délais, réduction des coûts (impression, archivage, envoi)… Les limites de la signature électronique dans la commande publique Certaines entreprises restent sceptiques face au certificat de signature électronique, en raison de son prix d’abord : il faut compter entre 80 et 300 euros HT selon la durée de validité du certificat (de un à trois ans). La question de la validité peut elle-même poser problème, car il reste possible pour un candidat de signer électroniquement un document quand bien même le certificat ne serait plus valide, pouvant rompre le contrat à tout moment. L’arrêté du 12 avril 2018 solutionne la question en imposant, depuis le 1er octobre 2018, de recourir à des certificats « eIDAS » et non plus à des certificats « RGS ». Par ailleurs, des interrogations restent encore à éclaircir : – Un contrat signé électroniquement par une entreprise et manuellement par un acheteur public (faute de certificat conforme) est-il juridiquement valide ? – Un acheteur peut-il dématérialiser la signature d’un marché sans disposer d’un système d’archivage électronique fiable ? Acheteurs et entreprises se heurtent encore à quelques difficultés. C’est pourquoi le recours à la signature manuscrite reste possible pour tous les marchés, le temps que la Direction des affaires juridiques (DAJ) éclaircisse encore toutes les zones d’ombre et permette à tous de profiter des avantages de la signature électronique dans la commande publique.

[...]

Au 1er octobre 2018, la dématérialisation, enjeu majeur des marchés publics, est devenue obligatoire en France pour les marchés de plus de 25 000 euros. Cette démarche s’inscrit dans un contexte à la fois de modernisation, de simplification et de transformation numérique de la commande publique. À la clef, de nombreux avantages pour appréhender les marchés publics : – un meilleur accès aux marchés publics pour les petites entreprises (TPE et PME) – une centralisation de l’information – une amélioration des procédures de passation – une limitation des coûts – un renforcement de la sécurité juridique – une transparence de la procédure de passation Antoine Martin, du portail d’appel d’offre public France Marchés, estime que la dématérialisation « permet une simplification des procédures, une meilleure traçabilité en ce qui concerne les échanges mais aussi des économies de papiers indéniables. Cette démarche a permis un accès simplifié aux commandes publiques pour les petites entreprises mais il ne faut pas oublier qu’elle s’est aussi faite dans l’objectif d’une transition écologique ». Désormais pour accéder aux commandes publiques, les entreprises disposent de la plateforme gouvernementale Marchés Publics. Cette plateforme unique leur permettant de consulter et retirer des dossiers mais également de répondre à des appels d’offres publics. La dématérialisation est une démarche globale qui investit toutes les communes de France. La métropole de Nice en est le parfait exemple. La transition digitale a nécessité une organisation de la part des équipes de Nice métropole. L’ambition de la métropole s’inscrit dans la démarche globale de dématérialisation avec le souhait, pour les collectivités locales, de rationaliser et simplifier les procédures. Pour les entreprises, la ville de Nice s’investit dans la dématérialisation pour faciliter l’accès des petites entreprises aux commandes publiques, assurer une transparence des échanges et garantir un meilleur suivi de l’information. Une fois la démarche de dématérialisation rodée, la métropole s’engagera dans un nouveau projet, celui de mettre en place un système d’archivage électronique des offres. La dématérialisation reste l’un des enjeux majeurs des marchés publics pour cette fin d’année 2018. Pour plus d’informations sur les enjeux de la commande publique le nouveau hors-série de Tribune Bulletin Côte d’Azur « Les nouveaux enjeux de la commande publique » saura répondre à toutes vos questions.

[...]